
Entretien
Quelles sont vos priorités actuelles pour l’Isep dans un contexte de transformations rapides du numérique ?
Nos priorités s’articulent autour de trois grands axes : la formation, la recherche, et le lien avec les entreprises et la société.
D’abord, nous voulons préparer nos étudiants et étudiantes à devenir des ingénieurs responsables, ouverts et agiles dans un monde numérique en constante évolution. Cela suppose une adaptation permanente de nos formations : intelligence artificielle, cybersécurité, systèmes embarqués, santé numérique… autant de domaines où l’innovation technologique doit s’accompagner d’une réflexion éthique. À l’Isep, nous formons des ingénieurs capables non seulement de maîtriser la technologie, mais aussi d’en comprendre les impacts humains, sociétaux et environnementaux.
Ensuite, nous renforçons la recherche au service des grandes transitions : numérique, écologique et sociale. Nos équipes travaillent sur des sujets tels que l’inclusion numérique, la protection des données, ou encore le numérique au service des personnes vulnérables. Cette recherche appliquée s’inscrit pleinement dans la mission d’une école d’ingénieurs responsable et engagée.
Enfin, nous cultivons un lien étroit avec le monde professionnel. Les partenariats entreprises, les immersions dans les métiers de l’ingénieur, les projets collaboratifs et nos formations en alternance sont au cœur de notre pédagogie. Ce dialogue constant entre l’Isep et les acteurs économiques nous permet d’anticiper les compétences de demain et d’accompagner les transformations des organisations.
Dans un contexte où le numérique évolue à une vitesse sans précédent, notre ambition est claire : faire de l’Isep une école qui conjugue excellence technologique, humanisme et responsabilité.
“Un numérique responsable est avant tout un numérique inclusif et ouvert à toutes et à tous.”
Comment l’Isep se distingue-t-elle dans le paysage des écoles d’ingénieurs du numérique ?
L’Isep se distingue par une approche globale du numérique, à la fois technologique, entrepreneuriale, internationale et humaniste. Nous formons des ingénieures et ingénieurs capables d’innover avec sens et responsabilité, dans un monde en transformation rapide.
Notre pédagogie repose sur des projets concrets nourris d’éthique et d’humanités, qui développent la capacité à agir, à manager et à piloter les transformations numériques. L’esprit d’innovation et l’entrepreneuriat sont au cœur de notre modèle, avec un parcours dédié et un incubateur pour accompagner la création de start-up.
L’Isep se distingue aussi par son ancrage international : plus de 150 partenariats universitaires, une vingtaine de doubles diplômes, près de 100 nationalités sur nos campus, et la présence du programme “Stanford Overseas” dans nos locaux. Cette immersion internationale, renforcée par des enseignements en anglais, prépare nos étudiants et étudiantes à évoluer avec agilité dans un monde global.
Enfin, avec 27 % de jeunes femmes accueillies à la rentrée 2025, l’Isep est l’école d’ingénieurs du numérique la plus féminisée. Cet engagement concret en faveur de la mixité illustre notre conviction qu’un numérique responsable est avant tout un numérique inclusif et ouvert à toutes et à tous.
En un mot, l’Isep forme des ingénieurs du numérique responsables, ouverts, entreprenants et porteurs de sens.
“À l’Isep, nous ne concevons pas la tradition comme un ancrage figé : elle est vivante, ouverte et féconde.”
Comment concilier l’héritage et l’identité de l’école avec une stratégie tournée vers l’avenir ?
L’Isep s’appuie sur un héritage solide, celui d’une école d’ingénieurs reconnue depuis plus de 70 ans pour la qualité de sa formation et sa proximité avec les entreprises. Cet héritage, c’est celui de l’exigence scientifique, du goût de l’innovation et d’une pédagogie centrée sur l’humain. Il constitue notre socle, notre boussole, à un moment où les technologies évoluent plus vite que jamais.
Mais à l’Isep, nous ne concevons pas la tradition comme un ancrage figé : elle est vivante, ouverte et féconde. Notre stratégie s’inscrit dans une dynamique de transformation continue — qu’il s’agisse de l’ouverture de nouveaux campus, du développement de formations innovantes comme le Bachelor “Systèmes numériques pour la santé”, de la montée en puissance de la recherche appliquée ou encore de notre engagement en faveur de la mixité.
En conciliant racines et audace, nous faisons de notre héritage un levier d’avenir. Fidèle à ses valeurs humanistes, l’Isep forme aujourd’hui des ingénieures et ingénieurs du numérique capables de conjuguer excellence, responsabilité et ouverture au monde. C’est cette alliance entre identité et innovation qui fait de l’Isep une école tournée vers le futur, sans jamais perdre de vue l’essentiel : mettre le numérique au service de l’humain.
“Tous les ingénieurs Isep sont qualifiés pour travailler dans le domaine de la cybersécurité.”
Comment la cybersécurité est-elle intégrée dans vos cursus et comment anticipez-vous l’évolution des besoins dans ce domaine ?
À l’Isep, la cybersécurité est intégrée de manière très concrète dans nos formations. Elle est abordée dès la 1ʳᵉ année du cycle ingénieur et fait partie intégrante de nos Bachelors. Nous disposons d’un Cyber Range, un outil d’enseignement et de recherche produit par Airbus, le même outil utilisé par les armées françaises au COMCYBER pour leur entrainement. Cet environnement immersif permet à nos étudiantes et étudiants de se former par la pratique à la gestion d’incidents, à la défense des systèmes et à l’analyse des attaques.
Grâce à cette approche, tous les ingénieurs Isep sont qualifiés pour travailler dans le domaine de la cybersécurité, quel que soit leur parcours. Le parcours Cybersécurité, l’un des plus demandés à l’école, prépare spécifiquement aux métiers d’ingénieur en sécurité des systèmes, d’architecte réseau ou d’expert en protection des données.
Nos équipes d’enseignants-chercheurs travaillent sur la cybersécurité à tous les niveaux : depuis la sécurité au niveau des composants électroniques, domaine dans lequel l’Isep conserve une expertise historique, jusqu’à la sécurisation des usages numériques. Cette continuité, du matériel jusqu’aux applications, nous permet d’anticiper l’évolution rapide des menaces et des besoins du marché, et de former des profils complets, capables d’allier rigueur technique et vision stratégique.
Quels écarts observez-vous entre les attentes des entreprises (compétences) et la formation des étudiants ?
Les attentes des entreprises évoluent très vite, notamment dans le numérique, mais l’Isep a toujours eu pour force d’adapter en continu ses formations à ces évolutions. Grâce à notre proximité avec les entreprises, nos conseils de perfectionnement, nos partenariats et l’alternance, nous restons en phase avec les besoins du marché.
Nos élèves sont formés par des enseignants-chercheurs qui collaborent au niveau international avec d’autres experts et universités. Cette ouverture garantit des contenus pédagogiques “state of the art”, constamment actualisés au rythme de la recherche et des innovations technologiques.
Cela dit, les technologies et les métiers du numérique évoluent à une vitesse telle que personne ne peut prévoir avec certitude les outils ni les compétences exactes dont nos élèves auront besoin dans dix ou vingt ans. De nouveaux métiers émergeront, d’autres se transformeront. Notre rôle, à l’Isep, n’est donc pas seulement de former à ce qui existe aujourd’hui, mais de préparer nos étudiantes et étudiants à ce qui n’existe pas encore : leur apprendre à apprendre, à s’adapter, à innover et à agir avec discernement dans un monde en mouvement permanent.
C’est cette capacité d’anticipation, d’ouverture et d’agilité qui fait la force de la formation Isep et qui explique pourquoi nos diplômés sont si appréciés des entreprises.
Quels dispositifs pédagogiques permettent de rendre les cursus plus adaptatifs face à l’accélération technologique ?
À l’Isep, nous veillons à rendre nos cursus adaptatifs et concrets face à l’accélération technologique et au travail transdisciplinaire :
- Les premières semaines de la première année du cycle ingénieur est constitué du module « Enjeux et métiers de l’ingénieur » qui propose une immersion dans la réalité des métiers d’ingénieurs et des attentes des entreprises : conférences, visites d’entreprises, ateliers – il permet aux étudiants de rencontrer des professionnel.les, de découvrir la diversité des métiers et de se projeter dans leurs trajectoires.
- Durant cette 1ʳᵉ année du cycle ingénieur, nos élèves travaillent en Apprentissage par Projet (APP) : groupes de 5 à 7, rythme alternance pratique/théorie en pédagogie inversée, projets techniques concrets dès le départ.
- Les enseignements sont structurés pour faire évoluer les savoir-faire techniques (sciences numériques, codage, réseaux, électronique) mais aussi les savoir-être (travail en équipe, autonomie, communication) : ce mélange rend les élèves aptes à s’adapter à ce qu’on ne connaît pas encore.
En résumé : nous ne prétendons pas savoir exactement quelles technologies ou métiers domineront dans dix ou vingt ans — mais nous formons nos ingénieurs et ingénieures à être prêts à inventer et s’insérer dans ces futurs métiers, en équipes transdisciplinaires et transfonctionnelles, grâce à des dispositifs pédagogiques concrets, réalistes et orientés vers l’action.
“La mixité est un levier de performance, d’innovation et de souveraineté.”
Quelles initiatives avez-vous mises en place pour favoriser la présence des femmes dans les filières technologiques à l’Isep ?
La féminisation des formations en ingénierie est une priorité stratégique pour l’Isep. Avec 27 % de jeunes femmes accueillies à la rentrée 2025, nous sommes aujourd’hui l’école d’ingénieurs du numérique la plus féminisée. Cet équilibre résulte d’un travail de fond, pas d’actions isolées : la diversité et la mixité se vivent au quotidien et à tous les niveaux.
Notre mobilisation s’appuie sur une conviction forte : la mixité est un levier de performance, d’innovation et de souveraineté. Nous ne cherchons pas à recruter moins de garçons, mais à attirer davantage de filles, en agissant dès l’amont : interventions dans les lycées, participation à des réseaux comme Femmes Ingénieures, Elles bougent, ou Becomtech, et communication attentive aux représentations et aux mots.
À l’Isep, la tolérance zéro face aux violences sexistes et sexuelles est clairement posée dès la rentrée, avec l’implication directe de la direction et du Bureau Des Elèves. La sensibilisation se poursuit tout au long du cursus : nos formations intègrent la question des biais de genre et de l’IA responsable, en partenariat avec Impact AI et le Cercle InterL notamment. Cette initiative a valu à l’Isep le prix Coup de Cœur Ingénieuse de la CDEFI en 2024.
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Notre engagement se reflète aussi dans la recherche et dans l’organisation interne : parité dans les équipes d’enseignants-chercheurs, diversité internationale, et un index égalité femmes-hommes de 93/100, en progression constante.
Enfin, c’est un engagement collectif et personnel : depuis plus de trente ans au sein de Femmes Ingénieures, dont je suis maintenant Présidente d’honneur, je défends la conviction que les talents féminins sont essentiels au numérique de demain. À l’Isep, nous faisons de cette conviction une réalité.
“Les systèmes d’évaluation et les concours valorisent des logiques de performance plus que de coopération.”
Quels obstacles culturels ou institutionnels identifiez-vous dans ce domaine ?
Les obstacles ne sont pas liés à la capacité des jeunes filles, mais aux stéréotypes persistants qui pèsent sur leurs choix d’orientation. Le numérique reste trop souvent perçu comme un univers technique, abstrait, voire masculin. Ces représentations influencent encore les familles, les enseignants et parfois les élèves eux-mêmes. Les choix de spécialités, notamment leur limite à 2 spécialités en Terminale, depuis la dernière réforme du Bac, ont eu un impact très négatif, auquel s’ajoute le stress des élèves et des familles dans la gestion du processus Parcoursup. Ceux-ci auraient besoin d’être davantage accompagnés.
Les jeunes filles expriment souvent un intérêt pour les enjeux sociétaux et humains du numérique, mais ne se projettent pas dans les métiers d’ingénieur.e, faute de modèles visibles et de discours valorisants. C’est pourquoi il est essentiel de montrer que le numérique est un levier de transformation utile à la société, pas seulement une affaire de technologie.
Sur le plan institutionnel, les freins résident dans une inertie culturelle : les campagnes d’orientation restent souvent neutres en apparence, mais invisibilisent encore les femmes dans les sciences. Les systèmes d’évaluation et les concours valorisent des logiques de performance plus que de coopération, ce qui peut aussi décourager certaines candidates, sur lesquelles pèse le syndrome de l’imposteur.
À l’Isep, nous travaillons précisément à déconstruire ces biais — dans nos enseignements, nos images et nos pratiques — en affirmant une autre vision de l’ingénierie : inclusive, ouverte et tournée vers l’humain.
“Avec 27 % de jeunes femmes à la rentrée 2025, l’Isep est aujourd’hui l’école d’ingénieurs du numérique la plus féminisée.”
Comment évaluer l’impact et la pérennité de ces initiatives ?
Nos résultats parlent d’eux-mêmes : avec 27 % de jeunes femmes à la rentrée 2025, l’Isep est aujourd’hui l’école d’ingénieurs du numérique la plus féminisée. Cette progression régulière et durable démontre l’efficacité de notre approche globale, bien au-delà d’actions ponctuelles.
Mais les chiffres ne suffisent pas : il faut aussi regarder le changement culturel à l’œuvre. Lors des journées portes ouvertes, je rencontre personnellement les jeunes filles et leurs familles. Je parle sans détour des stéréotypes de genre qu’elles rencontreront, parfois de la part de personnes bien intentionnées, et du syndrome de l’imposteur, que beaucoup connaissent sans toujours le nommer. Ces échanges directs comptent : ils libèrent la parole, rassurent, et aident à se projeter dans une école où elles se sentiront légitimes.
L’impact se mesure aussi à la pérennité de l’engagement collectif. À l’Isep, la mixité n’est pas un “projet”, c’est une culture partagée : dans nos équipes pédagogiques, nos laboratoires, nos associations étudiantes. C’est cette cohérence entre le discours, les actes et les résultats qui garantit la durabilité de nos avancées.
Comment renforcer l’agilité institutionnelle d’une école comme l’Isep dans un contexte de mutation constante ?
Ma longue expérience des métiers de l’ingénierie, en France comme à l’international, m’a permis d’acquérir une vision fine des attentes du monde professionnel. J’ai managé et recruté de nombreux ingénieurs dans des environnements et des cultures/pays très variés, ce qui m’a donné une compréhension concrète des compétences nécessaires aujourd’hui et de celles qu’il faut anticiper pour demain. Cette expérience nourrit directement mon action à l’Isep : former des ingénieures et ingénieurs capables de s’adapter, d’innover et d’agir avec responsabilité dans un monde en transformation rapide.
Elle m’a aussi convaincue qu’une école doit être aussi agile que les entreprises qu’elle prépare à rejoindre. À l’Isep, cette agilité s’incarne dans une gouvernance ouverte et réactive, fondée sur le dialogue constant avec les entreprises, les enseignants-chercheurs et les étudiants. Nous intégrons rapidement les nouveaux enjeux — cybersécurité, intelligence artificielle, numérique responsable — tout en préservant la cohérence de nos formations et de notre projet éducatif.
Mais l’Isep n’est pas une école comme les autres : en tant qu’Établissement d’Enseignement Supérieur Privé d’Intérêt Général (EESPIG), nous avons une mission de service public. Cet engagement implique une gouvernance rigoureuse, éthique et désintéressée, au service exclusif de la formation, de la recherche et de l’intérêt général. Cela guide toutes nos décisions : réinvestir nos ressources dans nos programmes, garantir la qualité académique, préserver l’indépendance de nos choix et renforcer notre utilité sociale.
C’est cette double exigence — agilité et responsabilité — qui fait la singularité de l’Isep : une école ancrée dans le réel, ouverte sur le monde, et fidèle à ses valeurs humanistes.
Quels ont été les moments clés de votre parcours professionnel qui vous ont conduite à la direction de l’Isep ?
Mon parcours s’inscrit dans la continuité d’un engagement personnel et professionnel en faveur de l’ingénierie, de l’innovation et de la mixité. Ingénieure de formation, diplômée d’une école d’ingénieurs, d’une maîtrise universitaire et d’un Executive MBA HEC, j’ai exercé divers métiers dans plusieurs industries, en France et à l’international, où j’ai encadré et recruté de nombreux ingénieurs. Cette expérience m’a donné une connaissance fine du monde de l’entreprise et des compétences attendues, qui nourrissent aujourd’hui ma vision de la formation à l’Isep.
Fille d’enseignante, j’ai toujours eu un lien naturel avec le monde éducatif. J’ai enseigné dans plusieurs établissements d’enseignement supérieur et également conçu et animé de nombreuses formations pour adultes et plans de formation en entreprise.
Mon engagement associatif, notamment au sein de Femmes Ingénieures dont je suis présidente d’honneur, est un fil rouge dans mon parcours.
Lorsque le Conseil d’administration de l’Isep a souhaité renforcer les liens avec le monde industriel, il a fait le choix d’une dirigeante issue de l’entreprise, capable d’ancrer l’école dans son écosystème économique et scientifique. Mon profil répondait à cette ambition : articuler formation, recherche et entreprise, et œuvrer à la féminisation des métiers du numérique.
Diriger l’Isep, Établissement d’Enseignement Supérieur Privé d’Intérêt Général (EESPIG), donne tout son sens à cet engagement : former des ingénieures et ingénieurs alliant excellence technique, ouverture internationale et responsabilité sociale.
“Je défends une vision inclusive de l’ingénierie, où la réussite collective prime sur la réussite individuelle.”
Quelles valeurs vous guident dans vos choix de leadership ?
🟢 Confiance & intégrité
Je crois que toute relation professionnelle — avec une équipe, un ou une partenaire, un étudiant ou une étudiante — doit s’appuyer sur la confiance, pour faire grandir les personnes, les projets et les organisations.
Cette confiance naît de la parole tenue, de la transparence des décisions et de la cohérence entre les intentions et les actes.
Pour moi, l’intégrité, c’est rester fidèle à mes convictions, dire ce que je fais et faire ce que je dis, sans mauvaise foi ni faux-semblants.
🟢 Efficacité au service de l’action
Dans un environnement complexe et changeant, l’efficacité est une nécessité.
Elle suppose de savoir décider, prioriser, avancer, tout en restant à l’écoute et en s’appuyant sur les compétences des équipes.
Mon approche est orientée résultats, sans jamais sacrifier le sens ni la qualité des relations humaines.
Cela rejoint les valeurs d’excellence et d’exigence portées par l’Isep.
🟢 Sens de l’intérêt général & solidarité
Diriger un établissement d’enseignement supérieur privé d’intérêt général (EESPIG), c’est agir au service du bien commun : former des ingénieures et ingénieurs responsables, capables de comprendre, transformer et rendre plus juste le monde qui les entoure.
Je défends une vision inclusive de l’ingénierie, où la réussite collective prime sur la réussite individuelle, et où chacun et chacune s’engage à contribuer aux grands défis du monde.
🟢 Respect & écoute
Le respect est un socle fondamental : respect des personnes, des engagements, des parcours, et du travail bien fait.
Il s’exprime par une écoute active, une attention constante à l’autre, et une construction patiente de la confiance.
Cette posture rejoint pleinement les valeurs d’écoute et d’engagement que l’Isep cultive au quotidien.
C’est aussi le respect du temps long : celui de la pédagogie, de la recherche, et de l’évolution des talents.
À propos de l’Isep
🌐 https://www.isep.fr
👤 Aline Aubertin est Directrice générale de l’Isep.








